traduction

vendredi 30 septembre 2011

Jeanne-Louise Vallain

Jeanne-Louise Vallain liberté
La Liberté - allégorie de la Révolution française, an II (via : les délices de M.Ogre)
Jeanne-Louise (Nanine) Vallain (1767-1815) épouse Pietre, était une peintre française. Elève de Jacques-Louis David, elle fut active à Paris de 1785 à 1810.

dimanche 25 septembre 2011

Marie-Constance Mayer

Marie-Constance Mayer venus
Le sommeil de Vénus (via : Art Renewal Center)

Marie-Françoise Constance Mayer-Lamartinière, (1776-1821) était une peintre de l'école française de la fin du XVIIIe siècle et du début du XIXe siècle, qui exposa depuis la Révolution jusqu'à la Restauration.

samedi 24 septembre 2011

Louis Ducis

Louis Ducis dibulade
Dibulade (via : Art Renewal Center)

Louis Ducis orpheus eurydice
Orphée et Eurydice (via : Art Renewal Center)

Jean-Louis Ducis (1775-1847) était un peintre d'histoire et portraitiste français, élève de Jacques-Louis David, et adepte du «style troubadour». 
Il était très en faveur sous le Premier Empire et la Restauration, durant lesquels il bénéficia de nombreuses commandes publiques. Il exposa au Salon de 1804 à 1834, y présentant des scènes de genre, des tableaux d'histoire et des portraits, et fut récompensé par une Médaille de 1ère classe au Salon de 1808. 

Source : wikipedia

vendredi 23 septembre 2011

La marquise de Pompadour

marquise pompadour roslin
Alexander Roslin (via : www.madamedepompadour.com)

marquise pompadour boucher
François Boucher - Madame de Pompadour à la toilette (via : wikipedia)
François Boucher - Madame de Pompadour

marquise pompadour van loo
Carle Van Loo (via : femme femme femme)

marquise pompadour drouais
François-Hubert Drouais, 1763 (via : wikipedia)

marquise pompadour drouais
François-Hubert Drouais, 1763 (via : www.madamedepompadour.com)

marquise pompadour boucher
François Boucher (via : wikipedia)


marquise pompadour boucher
François Boucher (via : wikipedia)

marquise pompadour drouais
François-Hubert Drouais (via : wikipedia)

marquise pompadour portrait
(via : fureur des vivres)
marquise pompadour nattier
Jean-Marc Nattier, 1748 (via : wikipedia)

marquise pompadour le brun
Louis Vigée Le Brun (via : batguano)

marquise pompadour quentin de la tour
Maurice Quentin de la Tour (via : wikipedia)

marquise pompadour baudouin
Pascal Baudouin - Madame de Pompadour en diane la chasseresse

marquise pompadour quentin de la tour
Maurice Quentin de la Tour - Madame de Pompadour en bergère (via : www.madamedepompadour.com)

marquise pompadour portrait
(via : femme femme femme)

marquise pompadour marin bonnet
Louis Marin Bonnet (via : www.madamedepompadour.com)

marquise pompadour modigliani
Amedeo Modigliani (via : www.madamedepompadour.com)

marquise pompadour matisse
Henri Matisse (via : doudou.gheerbrant)

Jeanne-Antoinette Poisson (1721-1764), marquise de Pompadour, fut une dame de la bourgeoisie française devenue favorite du roi de France et de Navarre Louis XV.

Elle épousa lors qu'elle eut vingt ans, le 9 mars 1741 à Saint-Eustache, Charles-Guillaume Le Normant d'Étiolles, âgé de vingt-quatre ans.

Ses contemporains considèrent Jeanne-Antoinette Le Normant d’Étiolles comme assez belle, d’une taille au-dessus de l’ordinaire, svelte, aisée, souple, élégante ; son visage était d’un ovale parfait, ses cheveux plutôt châtain clair que blonds. Ses yeux avaient un charme particulier, qu’ils devaient peut-être à l’incertitude de leur couleur. Elle avait le nez parfaitement bien formé, la bouche charmante, les dents très belles, un sourire délicieux, la plus belle peau du monde.

La beauté de Jeanne-Antoinette et son esprit la font connaître et elle devient l’hôtesse des salons cultivés et mondains de Paris. Elle donne des représentations intimes dans le petit théâtre qu’elle a fait construire dans son château d’Étiolles, à côté de Sénart où le couple s’installe et où le roi Louis XV vient souvent chasser. C’est au cours d’une de ses chasses que le roi la remarque.
Elle devient une visiteuse régulière et Louis XV l’installe au château de Versailles dans un appartement situé juste au-dessus du sien, relié par un escalier secret.

En juillet, le roi lui fait don du domaine de Pompadour, récemment acquis par la Couronne, la créant ainsi marquise, tandis que Jeanne-Antoinette obtient de son mari une séparation légale. En effet, le Châtelet de Paris prononce le 15 juin 1745, un arrêt de séparation de corps et de biens.
Le 14 septembre 1745, elle est officiellement présentée à la cour. Elle a 23 ans. Les milieux dévots d’une part et les milieux aristocratiques conservateurs d’autre part concentrent leurs attaques sur la nouvelle maîtresse du roi, certes pécheresse mais surtout parvenue puisque issue de la bourgeoisie et non de la noblesse comme l’étaient les précédentes favorites du roi.

En 1748, la marquise acquiert le château de la Celle, à quelques kilomètres de Versailles. La reine et le Dauphin, appuyés par les milieux dévots, pressent le roi de faire cesser cette relation adultérine notoire et finissent par le faire céder après de nombreuses années de résistance.
Après 1752, si les relations entre le roi et sa favorite prennent un tour platonique, voire simplement amical, Jeanne-Antoinette ne quitte pas la cour pour autant et reste dans l’entourage immédiat de la famille royale, alignant sa conduite sur celle qu’avait eue en son temps la marquise de Maintenon.

Ne pouvant contenter la sensualité du roi et craignant d’être supplantée par une dame de la cour, elle fournit à son ex-amant des jeunes femmes ou jeunes filles, logées dans la maison du Parc-aux-cerfs, actuel quartier Saint-Louis, à Versailles. Les plus célèbres furent Anne Couppier de Romans, qui eut un fils, Louis Aimé, que le roi reconnut sans le légitimer (ce qui fit trembler la marquise), et Marie-Louise O’Murphy de Boisfailly, dite Morphyse, avec qui il eut une fille, Agathe Louise.

Pendant son «règne» de vingt ans, elle maintient des rapports cordiaux avec la reine. Mme de Pompadour maintient également des relations avec les ministres qu’elle invite parfois dans ses appartements.

Elle appuie la carrière du cardinal de Bernis, du duc de Choiseul et soutient le renversement des alliances de la Prusse vers l’Autriche qui se concrétise par la guerre de Sept Ans et la perte de la Nouvelle-France.
La légende veut que la marquise, pour consoler le roi très affecté par la déroute de Rossbach, l’aurait exhorté à ne pas s’affliger outre mesure, concluant par ces mots : «Au reste, après nous, le Déluge».

Épuisée par vingt années de vie, de travail et d’intrigues à la cour, sa santé chancelle. À Versailles, elle se plaint constamment de l’air froid et humide de ses grands appartements, regrettant le petit appartement de l’attique nord, plus facile à chauffer, qu’elle avait occupé les cinq premières années de son installation.
Dans la nuit du 14 au 15 avril 1764, le curé de la Madeleine de la Ville-l’Evêque, confessa la marquise et lui administra l’extrême onction. La croyant endormie, le prêtre fait le mouvement de se retirer et la Marquise de Pompadour murmura : «Encore un moment, monsieur le Curé, nous nous en irons ensemble».

Jeanne-Antoinette meurt d’une congestion pulmonaire, à l’âge de 42 ans, le 15 avril 1764 à Versailles, ultime privilège, puisqu’il était interdit à un courtisan de mourir dans le lieu où résidait le roi et sa cour.

On raconte que, considérant le mauvais temps alors que le convoi funéraire de Jeanne-Antoinette quittait Versailles pour Paris, Louis XV aurait fait cette remarque : «La marquise n’aura pas beau temps pour son voyage» et voyant le cortège s’éloigner sans avoir pu rendre officiellement hommage à celle qui avait été si longtemps sa confidente : «Voilà les seuls devoirs que j’aie pu lui rendre !».

Source : wikipedia

jeudi 22 septembre 2011

Jean-Baptiste Regnault

Jean-Baptiste Regnault liberté
La Liberté ou la Mort (via : wikipedia)
Jean-Baptiste Augustin Regnault (1754-1829) était un peintre académique et néoclassique français.
Il présenta ce tableau au Salon de 1795. Au centre, le Génie de la France aux ailes tricolores survole le globe terrestre exprimant l'universalité des idées de 1793; à sa gauche, la Mort; à sa droite, la République avec les symboles de la liberté, de l'égalité et de la fraternité.

Plus d'oeuvres de l'artiste ici.

mercredi 21 septembre 2011

Arnold Böcklin

Arnold Böcklin (1827-1901) était un peintre, dessinateur, graphiste et sculpteur suisse.

Avec Ferdinand Hodler, Max Klinger et Lovis Corinth, il est l'un des principaux représentants du symbolisme allemand, un courant artistique ayant marqué une rupture avec la peinture académique et le naturalisme de la deuxième moitié du XIXe siècle.
Des surréalistes comme Giorgio de Chirico, Salvador Dalí et Max Ernst ont vu en lui un de leurs prédécesseurs et l'ont salué comme un «artiste génial et ironique».

Voir ici les 4 versions de L'île des Morts
Source : wikipedia

arnold bocklin angelica
Roger et Angélique, 1872 (via : back to classics)

arnold bocklin bois
Licorne, 1885 (via : yadernaya-zima)
arnold bocklin sirens
Sirènes (via : bibiriboza)

arnold bocklin nessus
Nessus et Déjanire (via : wikipedia)
Hymne au printemps
Le sanctuaire d'Hercule

Angélique
Diane observée par deux faunes, 1877 (via)

Le bosquet sacré I (The sacred grove I), 1882

Le bosquet sacré II (The sacred grove II), 1886

La forêt sainte, gardée par une licorne, 1871

L'ermite, 1884 (via)

Sappho II, 1872

Flora

La peste

Astolphe s'enfuyant avec la tête d'Orrile

L'attaque des pirates

La bataille des centaures

Pensées d'automne

Centaure dans le magasin Blacksmith du village

Dragon dans un ravin

Faunes et nymphe endormie

Bataille sur un pont

Bataille sur un pont

Paysage idéal de printemps

Idylle

La complainte du berger - Daphnis et Amaryllis
Marie Madeleine pleurant pour la mort du Christ

Méduse

Nymphe et centaure à l'orée du bois

Nymphe

Prométhée
Source entre deux murs de pierre

Jour d'été

La déposition

La liberté - Helvetia

Le roi David (panneau central)

Le bois sacré

La nuit

La guerre

Triton et néréide
Venus genitrix

Villa en bord de mer

Vita somnium breve



arnold bocklin sirens
Dans la mer (via : Art Renewal Center)

arnold bocklin venus
Vénus Anadyomène (via : wikipedia)

arnold bocklin sirens
Sirènes (via : yadernaya-zima)

arnold bocklin sirens
(via : bibiriboza)

arnold bocklin sirens
Mer calme, 1887 (via : www.arnoldbocklin.com)

arnold bocklin cleopatra
Cléopâtre (via : www.arnoldbocklin.com)

arnold bocklin elysian fields
Champs Elysées (via : www.arnoldbocklin.com)

arnold bocklin euterpe
Euterpe (via : www.arnoldbocklin.com)
L'île de la vie, 1888
Fille et garçon ramassant des fleurs, 1866 (via : wikipaintings)

arnold bocklin lovers
Amoureux en face d'un arbuste, 1864 (via : illusions gallery)
arnold bocklin sirens
Sirènes jouant (via : www.arnoldbocklin.com)

arnold bocklin odysseus calypso
Ulysse et Calypso (via : bibiriboza)